Duncan McFear
Administrateur 6ème année à Abraxas Tyran.  Nombre de messages : 304 Age : 34 Date d'inscription : 29/03/2008  | Sujet: - God* It's me! -  Ven 4 Avr - 23:24 | |
| Interview accordée à la Gazette du Sorcier
« Comment vous nommez-vous ? »
« Duncan McFear »
« Quel âge avez-vous ? »
« Je vais rentrer bientôt dans ma dix-septième année. »
« Qu’appréciez-vous le plus dans votre famille ? »
« Son sang ! Ma famille est de Sang Pur. C’est la plus puissante, elle surpasse toutes les autres familles »
« Êtes-vous orgueilleux ? »
« Cela ne se voit-il pas ? »
« Aimez-vous votre famille ? »
« Quelle question idiote. »
« Y a-t-il quelqu’un que vous respectez le plus au monde ? »
« Oui! »
« Quelle est cette mystérieuse personne ? »
« Vous me croyez assez stupide pour révéler son nom ? Qu’est ce que je gagne en échange ? »
« Êtes-vous vénal ? »
« Ca se voit tant que ça ? »
« Vous avez fait un grande partie de vos études à Durmstrang, racontez-nous vos années scolaires ? »
« Et puis quoi encore ? Vous découvrirez mon scolarité exemplaire à Durmstrang quand quelqu’un aura fait une biographie sur l’être génial que je suis ! »
« Pourquoi avoir choisis de changer d’école une année avant la fin de votre scolarité ? »
« Parce que… Question Idiote ! Réponse Idiote ! »
« Que pensez-vous du règlement instauré dans cette école… »
« Voici enfin un directeur qui est à l’écoute des familles de Sang-Pur. Cette école aurait du être créée depuis des lustres. Avec ce règlement, nous sorciers et sorcières de pure souche, nous pouvons désormais étudier en paix et loin de cette racaille illégitime qui pollue notre atmosphère ! »
« N’avez-vous pas peur d’être dépaysé en arrivant dans cette nouvelle école ? »
« Nullement, sans même y avoir mis les pieds, je me sens déjà comme chez moi ! Et un McFear qui se respecte sait s’adapter en toute situation… Je peux vous assurez que les filles ne vont faire qu’un tour dans mes bras ! »
« Êtes-vous prétentieux ? »
« Pas le moins du monde ! Juste réaliste ! »
« Un mot de conclusion à notre entretien ? »
« Les Sang Pur vaincront ! »
« Merci, de nous avoir accordé un peu de votre temps… »
Duncan n’attendit pas la fin de l’interview et les remerciements du journaliste. Franchement il avait des choses beaucoup plus importante à faire, pour préparer son entrée dans la nouvelle école tenue par son cousin Drago Malefoy. Oui, vous avez bien entendu, Duncan et Drago sont liés par le sang, et c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il avait décidé de partir de Durmstrang pour cette nouvelle école, en plus le règlement était vraiment très bien. Ils ne seraient qu’entre eux. Aucune souillure ne viendrait tâcher la vie dans cette nouvelle école. Il était si fier d’avoir été accepté dans l’école de son cousin. Oui, lui, son cousin, son cousin qu’il vénérait tant car il partageait les mêmes centres d’intérêt, la même haine des sorciers nés moldus, quoique Duncan aimait jouer avec ses filles qui n’était pas digne d’être ici. Il les abordait, les draguait, et s’amusait avec elle, pour satisfaire sa soif insatiable de goûter au plus belle forme de la femme. Duncan était quelqu’un de persévérant et s’il avait décidé que telle fille était sa prochaine proie, il valait mieux que celle-ci cède rapidement au charme du beau brun car lui ne céderait pas, il arrivait toujours à ses fins et peu importe comment. Il n’était pas le cousin de Drago Malefoy pour rien.
Duncan se promenait sur le chemin de Traverse puisque c’était là-bas qu’il y avait le siège de la Gazette du Sorcier. Il regardait les jeunes sorciers avec mépris, ils semblaient être si puérils, d’autant plus que dans la masse de populace qui trainait sur l’allée marchande, un bon nombre était de Sang Mêlé ou pire était d’origine moldue. Ah ! Cela le dégoutait au plus au point ! Comment les portes du monde sorcier pouvaient-elles êtres ouverte à des personnes de naissance inférieure. Duncan marchait d’un pas conquérant comme s’il était le digne descendant d’un empereur des temps jadis, sur de lui et de sa force, il retirait de son chemin toute la vermine qui l’empêchait d’avancer plus vite dans l’allée ensoleillé de Londres. Il devait se rendre dans l’allée des Embrumes faire un tour chez Barjow et Beurk et n’avait pas envie de perdre son temps précieux. Il se comparait au Premier Ministre, il avait un emploi du temps chargé, et il devait respecter le timing qu’il s’était fixé. Et il dénigrait pour cela tout le monde qui l’entourait car il ne le vaut pas et ne le vaudra jamais. Duncan était supérieur, grand et magnanime, les personnes autour de lui n’étaient que des cafards qu’il fallait éradiquer à tous les prix, qu’importe leur ascendance. Le jeune homme de dix-sept ans, avait donc une très grande estime de lui et de ses capacités qu’elles soient intellectuelles, morales ou physique.
Arrivé dans l’allée assombrie, il se sentait comme chez lui, il y avait des harpies, des sorcières en guenilles loin d’être rassurante, qui vendaient des yeux humains injectés de sang, ou des doigts coupés en fines rondelles. Ce qui était étrange en pleine journée, mais ce qui donnait beaucoup de charme à la rue malfamée, c’était des vols de chauve-souris incessants. Duncan arriva devant la devanture d’un magasin : Par la vitrine sale, poussiéreuse, il vit plusieurs objets occultes. Parmi eux, une main desséchée qu’il connaissait bien puisque chaque fois qu’il venait, il la regardait pendant de longue minute dans l’avidité de l’utiliser un jour ou l’autre. La patience est une vertu, et comme les filles, quand il voulait un objet, il finissait un jour par l’avoir. Il poussa la porte qui enclencha un mécanisme qui fit sonner la cloche et signala au vendeur la présence d’un nouveau client dans sa boutique. Et quel client ! Pas n’importe qui !
« Mon cher ami je suis très heureux de vous voir »
« M. Barjow ! »
« Que puis-je faire pour vous »
« Je viens chercher quelques objet occultes pour ma future scolarité ! »
« Bien Monsieur ! Pourquoi auriez-vous besoin de tels objets »
« M. vous êtes bien trop curieux, laissez vos yeux et vos oreilles dans votre poche, et montrez-moi ces objets sur le champ et ne discutez pas ! Le client est maître, et si vous continuez et que vous n’accédez pas à ma demande, les conséquences en seraient désastreuses, surtout pour vous… Vous devez savoir que ma famille à du pouvoir sur le monde sorcier ! »
Le vendeur resta là, à regarder son client tout penaud, et à la fois dans ses yeux se lisait de la colère ! Comment un jeune homme de dix-sept ans pouvait-il faire sa loi dans une boutique. Néanmoins, Duncan savait se montrer très persuasif, par le chantage et la menace. Et ils allèrent continuer leurs affaires dans l’arrière boutique, loin des regards et des oreilles indiscrètes. Une heure plus tard, l’affaire conclue, il ressortit dehors, un sac rempli de chose diverses et variées, arborant un grand et majestueux sourire. Un sourire de carnassier prêt à se jeter sur sa proie. A présent il pouvait commencer sa nouvelle année en toute quiétude, il aurait de quoi s’occuper. H O R S - J E U - Prénom: Damien
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